mercredi 13 février 2013
dimanche 10 février 2013
Petit retour en arrière
Samedi 9 février :
Ce matin, levé 6h, je m'habille et hop! je saute dans la voiture. Maman et moi nous perdons presque malgré le GPS, mais finissons par arriver à l'AFPE de St-Brieuc, là où j'allais passer les 5 prochaines heures. 7h45, les salles commencent à se remplir. La mienne est située dans le sous-sol, c'est un amphi. Je m'installe, sans aucun stress. à 8h25, nous pouvons enfin commencer.
Le sujet :
--> faire une synthèse des 4 documents (annexes) qui portent sur la génération Y
--> expliquer votre point de vu sur l' "habitat partagé" en analysant et en développant
J'ai mis 3h pour le premier exercice, et 1h seulement pour le deuxième. Je me suis concentrée à fond pendant ces 4h, et j'ai rendu ma copie, soulagée.
Je n'ai pas été stressée du tout, à mon plus grand étonnement. Tans mieux! Le stress fait qu'on perd tout nos moyens...(comme on le verra dans les prochaines lignes)
Maman vient me chercher en début d'après-midi. Tentées par les boutiques de Plérin, nous nous sommes arrêtée quelques heure pour nous détendre et (surtout) pour nous faire plaisir.
Affamées, il était 16h30, nous rentrons à Paimpol. Là, nous grignotons quelque chose, je prends une bonne douche, je m'habille, et nous voilà reparties pour La Halle, où avait lieu le Concert des Pianistes. Assises par terre par manque de places, maman et moi avions froid, mais en plus le stress me gagnait... Je contrôlais ma respiration pour cesser de trembler, mais en vain. Puis, se fut mon tour. Me voilà au piano, ma prof qui vient me glisser dans l'oreille "ça va aller très bien Maïlys" et moi qui lui présente mes excuses d'avance.
J'avais vu juste! Mon pré sentiment était justifié. Je me suis plantée. Au moment de jouer, mon esprit ne suivait plus mes doigts. Je les regardais pédaler sur le clavier, sans vraiment me rendre compte de se que je faisais (d'où le pratique du par-coeur). Parfois, je me mettais à réfléchir et c'est là que je me trompais. Ma partition était inutile. Ma prof, venue à mon secours plus d'une fois, me montrait les notes, mais elles ne m'aidèrent pas à me rattraper. Seuls mes doigts avaient le souvenir de l'ordre dans lequel ils devaient taper les touches.
J'ai finalement terminé ma prestation, gênée, désolée pour la réputation de ma prof. J'ai quand même une pensée pour tout ces gens qui m'ont applaudis. 'Sympa de leur part! J'ai aussi eu une pensée pour Eric, mon professeur de piano habituel qui est très malade depuis quelques mois. Il n'était pas là cette fois, mais j'espère de tout mon coeur qu'il va se rétablir vite et qu'il va pouvoir me faire jouer à une prochaine audition... c'est à dire avant juin prochain.
Inscription à :
Articles (Atom)